Générateur De Moyenne Mobile

Les prix de l'essence ont atteint en moyenne 2,772 le gallon dans la région du comté de Los Angeles-Riverside-Orange en novembre 2016, a annoncé aujourd'hui le Bureau des statistiques du travail des États-Unis. 160Le commissaire adjoint aux opérations régionales, Richard Holden, a fait remarquer que les prix de l'essence dans la région étaient de 7,8 cents de moins qu'en novembre dernier alors qu'ils étaient en moyenne de 2,850 par gallon. Les ménages de la région de Los Angeles ont payé en moyenne 19,0 cents le kilowatt-heure (kWh) d'électricité en novembre 2016, soit moins que les 21,3 cents le kWh payés en novembre 2015. Le coût moyen du gaz utilitaire (piped) à 1,208 par therm en novembre a été Plus que les 1.104 par therm passé l'année dernière. (Les données de ce communiqué ne sont pas corrigées des variations saisonnières en conséquence, mais l'analyse est faite sur toute l'année.) 160 À 2,772 gallons, les consommateurs de Los Angeles ont payé 23,4% de plus que la moyenne nationale de 2,246 en novembre 2016. Un an plus tôt, Les consommateurs dans la région de Los Angeles ont payé 26,7 pour cent de plus que la moyenne nationale pour un gallon d'essence. Le prix local d'un gallon d'essence a varié de 8,2 à 26,7 pour cent au-dessus de la moyenne nationale au mois de novembre au cours des cinq dernières années. (Voir le graphique 1). Les 19,0 cents par kWh des ménages de Los Angeles payés pour l'électricité en Novembre 2016 était de 45,0 pour cent de plus que la moyenne nationale de 13,1 cents par kWh. En novembre dernier, les coûts de l'électricité étaient de 59,0% plus élevés à Los Angeles que dans la nation. Au cours des cinq dernières années, les prix payés par les consommateurs de la région de Los Angeles pour l'électricité ont dépassé la moyenne des États-Unis de 45,0 pour cent ou plus au mois de novembre. Les prix payés par les consommateurs de la région de Los Angeles pour le gaz utilitaire, communément appelé gaz naturel, étaient de 1,208 par thermale, soit 24,5% de plus par rapport à la moyenne nationale en novembre 2016 (0,970 par therm. Un an auparavant, les consommateurs de la région ont payé 22,3 pour cent de plus par therm de gaz naturel par rapport à la nation. Dans la région de Los Angeles au cours des cinq dernières années, le coût par therm de gaz naturel en novembre a varié entre 0.1 et 24.5 pour cent au-dessus de la moyenne des États-Unis. (Voir le graphique 3). La région métropolitaine de Los Angeles-Riverside-Orange County, en Californie, comprend les comtés de Los Angeles, Orange, Riverside, San Bernardino et Ventura en Californie. Note technique Les prix moyens sont estimés à partir des données de l'Indice des prix à la consommation (IPC) pour certaines séries de produits de base afin de répondre aux besoins de recherche et d'analyse des utilisateurs de données de l'IPC. Les prix moyens de l'électricité, du gaz d'utilité publique et de l'essence sont publiés mensuellement pour la moyenne urbaine des États-Unis, les 4 régions, les 3 classes de population, les 10 classifications croisées de la classe régionale et les 14 plus grandes régions indexées locales. Pour l'électricité, les prix moyens par kilowatt-heure (kWh) sont publiés. Pour le gaz utilitaire (canalisé), les prix moyens par therm, sont publiés. Pour l'essence, le prix moyen par gallon est publié. Les prix moyens des catégories d'essence couramment disponibles sont publiés ainsi que le prix moyen pour toutes les catégories. Tous les prix admissibles sont convertis en prix par quantité normalisée. Ces prix sont ensuite utilisés pour estimer un prix pour une quantité fixe définie. Le prix moyen par kilowattheure représente la facture totale divisée par l'utilisation du kilowatt-heure. La facture totale est la somme de tous les articles applicables à tous les consommateurs figurant sur une facture d'électricité, y compris, mais sans s'y limiter, les taux variables par kWh, les coûts fixes, les taxes, les surtaxes et les crédits. Ce calcul s'applique également au prix moyen par thermicule pour le gaz utilitaire (canalisé). Les renseignements contenus dans ce communiqué seront mis à la disposition des personnes ayant une déficience sensorielle sur demande. Téléphone vocal: 202-691-5200 Service de relais fédéral: 800-877-8339. Tableau 1. Prix moyens de l'essence, de l'électricité et du gaz d'utilité publique (canalisation), Los Angeles-Riverside-Orange County et États-Unis, novembre 2015-novembre 2016, non désaisonnalisé Énergie par gallon Électricité par kWhFACE FAITS. FAITS. Comment les êtres humains reconnaissent les parents? Le projet Kinship est un projet financé par le Conseil européen de recherche sur cinq ans qui étudie la question ldquo Comment les êtres humains reconnaissent kinrdquo Si vous aviez vos photos de famille 3D prises au Glasgow Science Center entre le 2-16 avril 2016 ou Hunter Halls Pour le Festival de Science de Glasgow le 19 juin 2016, vos gifs démo sont disponibles sur My Faces en entrant votre code de photo. Si vous souhaitez que vos photos de famille 3D soient prises, nous ferons ensuite des photos au Glasgow Science Centre du 17 au 21 octobre 2016. Vous pouvez également envoyer un courriel à kinshipfacelab. org pour prendre rendez-vous afin que vos photos soient prises dans notre laboratoire Université de Glasgow campus Hillhead. Ce projet est dirigé par Lisa DeBruine, l'une des fondatrices de Face Facts. Dr Iris Holzleitner, Dr Anthony Lee et Kieran OShea sont des chercheurs postdoctoraux employés dans le projet et Vanessa Fasolt est un étudiant au doctorat impliqué dans le projet. Iris, Robbie, Ant et Amanda au Glasgow Science Centre. Tweets par kinfaces Institut de Neuroscience et Psychologie de l'Université de Glasgow FACE FACTS. FAITS. FAITS. Les théories biologiques de la sélection sexuelle suggèrent que nos perceptions de l'attrait fonctionnent pour choisir des partenaires en bonne santé. Le poids corporel est un indice potentiel de la santé. Ici, weve a manipulé des indices de forme au poids de corps pour voir si le poids de corps inférieur change fiablement vos perceptions de la santé. Le dimorphisme sexuel contribue à notre perception de l'agressivité et de la domination. Nous pouvons manipuler le dimorphisme sexuel en calculant les différences de forme entre les visages mâles et femelles moyens. Ensuite, nous pouvons manipuler la forme d'un visage individuel en utilisant ces différences pour masculiniser ou féminiser. Bébé bébé bébé bébé FAITS. Trouver l'expression Différentes expressions prennent différentes quantités de temps à voir. Dans cette expérience, il vous sera demandé de trouver des expressions spécifiques. Sur chaque essai, vous verrez 4 visages. Après quelques secondes, ils vont commencer à se déplacer et vous devez appuyer sur l'expression cible aussi vite que vous le pouvez. Commencez l'expérience FACE FACTS. FAITS. FAITS. FAITS. FAITS. FAITS. FAITS. FAITS. FAITS. FAITS. FAITS. FAITS. Cliquez sur les questions ci-dessous pour en savoir plus sur la recherche que nous faisons à l'aide de visages informatiques. Comment utilisons-nous des techniques graphiques informatiques pour manipuler des images faciales Nous utilisons des méthodes graphiques informatiques comme celles de la page Transform Faces pour manipuler des visages le long d'une dimension, comme le poids ou la masculinité. Examiner comment ces manipulations forment des jugements comme l'attractivité ou la santé peut révéler quelles dimensions influent sur des jugements particuliers. Nous pouvons alors comparer ces effets entre différents groupes de personnes, comme des hommes et des femmes ou des personnes de cultures différentes, pour étudier comment les différents groupes de personnes répondent à ces dimensions. Un visage masculin transformé de plus féminin que moyen à plus masculin que moyen Comment pouvons-nous utiliser des visages moyens pour étudier les jugements sociaux Nous pouvons faire des visages composites avec la forme moyenne, la couleur et l'information de texture pour les visages qui sont perçus comme particulièrement élevé sur un trait Ou des caractéristiques physiques et des visages qui sont perçus comme étant particulièrement bas sur ce trait ou caractéristique. Par exemple, nous pouvons créer des composites représentant l'aspect facial moyen des personnes ayant une santé médicale particulièrement bonne ou mauvaise. En demandant aux gens de dire lequel des deux visages est plus sain, plus attrayant ou plus digne de confiance, on peut établir si les visages des personnes ayant une bonne santé médicale semblent plus sains, plus attrayants ou plus dignes de confiance que ceux des personnes ayant une mauvaise santé médicale. Différents types de signaux faciaux sont importants pour les jugements sociaux des visages De nombreux types de signaux faciaux influent sur les jugements sociaux. Par exemple, l'augmentation de la masculinité des formes de visage rend les gens plus agressifs, et donnant des visages une lueur d'or montre que l'information de couleur du visage influence les jugements de santé. L'information dynamique, comme les mouvements oculaires et les expressions faciales, peut aussi être très importante pour les jugements sociaux des visages. Les gens préfèrent les visages qui font le contact visuel avec eux, particulièrement quand ils sourient. Quelles sont les analyses top-down et bottom-up Les analyses top-down des visages sont celles où un chercheur prend une idée à partir de théories scientifiques, utilise cette idée pour générer une hypothèse sur la façon dont un repère facial particulier pourrait influencer les jugements sociaux, puis conçoit un Expérimentale pour tester cette hypothèse. Le travail liant les traits masculins du visage à des perceptions d'agressivité est un bon exemple de l'utilité de cette approche les chercheurs ont pris des idées du travail sur des animaux non humains suggérant que les mâles dans de nombreuses espèces présentant des caractéristiques plus masculines avaient un rang social plus élevé et conçu des expériences pour tester des effets similaires Dans les jugements sociaux humains. Les analyses bottom-up sont différentes parce qu'elles dépendent moins des théories pour générer les idées initiales. Les analyses bottom-up construisent des modèles de la façon dont les gens réagissent à des combinaisons de traits choisis au hasard et utilisent ces modèles pour révéler les différentes combinaisons de traits qui sous-tendent différents jugements sociaux. La recherche démontrant les différences culturelles dans l'information que les gens utilisent pour juger les émotions est un bon exemple de cette approche. Les analyses top-down et bottom-up sont maintenant couramment utilisées dans la recherche sur le visage, aidant les chercheurs à tester les prédictions clés à partir des théories existantes et à générer de nouvelles théories pour la prochaine génération de scientifiques. L'expérience forme-t-elle comment les gens réagissent-ils aux signaux faciaux Oui. Si on leur montre des visages manipulés pour posséder un trait particulier, ils commencent généralement à penser que ce trait est plus normal et, par conséquent, le trouvent souvent plus attrayant. C'est ce qu'on appelle souvent l'adaptation visuelle. Pour les visages, les effets sont typiquement spécifiques à la catégorie de visages que vous avez montré. Par exemple, l'expérience avec des visages masculins qui sont manipulés pour avoir des yeux à grands espaces rend d'autres visages mens à grands yeux espacés semblent plus normaux et attrayants, mais ne modifie pas vraiment comment les gens perçoivent les visages féminins avec ce trait. Les effets de l'expérience sur les réponses aux signaux faciaux ont permis de comprendre comment les différences culturelles dans la perception du visage pourraient émerger. Comment la culture influe-t-elle sur les réponses aux signes du visage? En revanche, les gens des cultures orientales ont tendance à se concentrer principalement sur les régions oculaires. En se concentrant sur les régions de l'œil de cette façon peut rendre plus difficile pour eux de distinguer entre les expressions émotionnelles qui partagent l'information oculaire similaire, mais diffèrent d'autres manières. Pour cette raison, les gens dans les cultures orientales trouvent qu'il est plus difficile de distinguer entre le dégoût émotion et la peur que les gens dans les cultures occidentales. Le dégoût et la peur sont très similaires dans les régions oculaires, mais sont très différents dans d'autres régions face. Quelle est la similitude des préférences de visage et de voix Bien que les jugements d'attractivité des visages et des voix reposent sur des sens différents, il y a une raison qu'ils peuvent être remarquablement semblables en effet. Par exemple, les femmes qui montrent des préférences particulièrement fortes pour les caractéristiques masculines dans les visages masculins, comme les mâchoires fortes et les sourcils lourds, tendent également à montrer des préférences particulièrement fortes pour les caractéristiques masculines dans les voix des hommes, comme le bas ton. Ces résultats suggèrent que la variation chez les femmes dans leurs préférences pour les caractéristiques masculines n'est pas aléatoire mais reflète des différences systématiques dans la mesure dans laquelle les femmes évaluent les caractéristiques que les traits masculins dans les visages et les voix sont associés. Comment pouvons-nous répondre à des personnes dont les visages ressemblent à la nôtre? Nous aimons les gens qui ont des visages qui ressemble à la nôtre La réponse est plus compliquée que vous pouvez l'espérer. Notre recherche a montré que les gens perçoivent des visages ayant des caractéristiques de forme semblables à celles de leur propre visage pour être particulièrement dignes de confiance et, lorsqu'ils jugent les visages de leur propre sexe, plus attrayants. Cependant, les gens ont tendance à trouver des visages de sexe opposé avec des caractéristiques de forme semblables à celles de leur propre visage pour être relativement peu attrayants, surtout quand on juge l'attrait des visages pour une relation sexuelle. Nous semblons avoir évolué pour coopérer avec des individus affichant des indices de parenté, mais trouver des individus d'autres sexes affichant ces indices peu attrayants en tant que copains. Deux femmes (à gauche) avec leurs sœurs virtuelles (milieu) et les frères virtuels (à droite) Comment visualiser les émotions Les images ci-dessous montrent des cartes où les muscles faciaux sont actifs pendant les expressions émotionnelles. FAITS. FAITS. Les organisateurs Lisa DeBruine Le Dr DeBruine est un lecteur de l'Institut des neurosciences et de la psychologie de l'Université de Glasgow et dirige le laboratoire de recherche sur le visage avec Ben Jones. Sa recherche combine théories de la biologie évolutionniste et la psychologie cognitive avec des méthodes de la psychologie expérimentale, l'écologie comportementale et l'économie expérimentale, pour explorer comment l'apparence physique affecte la prise de décision sociale. En 2015, elle a reçu une Subvention Consolidation de l'ERC de 5 ans pour répondre à la question «Comment reconnaissent-ils les hommes?» Jack Rachael Jack est maître de conférences à l'Institut des neurosciences Et Psychologie, Université de Glasgow. Son travail se concentre sur la communication sociale humaine, c'est-à-dire la façon dont les gens transmettent et décodent des signaux (par exemple des expressions faciales) pour l'interaction sociale avec un accent particulier sur la communication interculturelle. Son approche interdisciplinaire combine des domaines traditionnellement distincts, tels que la psychophysique, la psychologie sociale et la théorie de l'information. Elle est récipiendaire du prix 2013 de l'American Psychological Association New Investigator et est actuellement financée par l'Open Research Area et par le ESRC Future Research Leaders Scheme. Philippe Schyns Prof. Schyns est directeur de l'Institut des neurosciences et de la psychologie de l'Université de Glasgow. Il obtient son diplôme en psychologie à Liège (Belgique) en 1986 et en informatique à Louvain (Belgique) en 1988, suivi d'un doctorat. En sciences cognitives à l'Université Brown (États-Unis) en 1992. Il est membre de la Société royale d'Édimbourg, rédacteur en chef de Psychological Science et rédacteur en chef de Frontiers in Perception Science. Il étudie les mécanismes de traitement de l'information de la catégorisation du visage, de l'objet et de la scène dans le cerveau. Benedict Jones Prof. Jones est professeur à l'Institut des neurosciences et de la psychologie de l'Université de Glasgow et dirige le laboratoire de recherche sur le visage avec Lisa DeBruine. Sa recherche étudie comment les gens réagissent aux signaux faciaux. En 2012, il a reçu une Subvention de démarrage ERC de 5 ans pour étudier les effets des hormones exogènes sur les perceptions, les comportements et l'apparence des femmes. Amanda Hahn Le Dr Hahn est chercheur postdoctoral au Laboratoire de recherche sur le visage. Ses recherches portent sur les fondements endocrinologiques de la motivation, les préférences des partenaires et les réponses aux nourrissons. Elle explore actuellement les changements hormonaux liés aux comportements d'accouplement et l'impact de l'utilisation de contraceptifs hormonaux sur ces comportements. En tant qu'étudiante au doctorat à l'Université de St Andrews, elle a travaillé au Perception Lab. Supervisé par David Perrett. Elle a complété sa maîtrise en psychologie expérimentale à la WWU, en tant que membre du laboratoire de cognition humaine et de dynamique neurale. En tant que premier cycle, elle a étudié la biologie et la psychologie à l'université de la Californie, Irvine. Oliver Garrod Le Dr Garrod est un technologue de recherche travaillant sur les modèles dynamiques de perception de l'expression faciale. Il est diplômé de l'Université St. Andrews avec BSc (hons) en psychologie et a obtenu son MSc et PhD de l'Université de Glasgow. L'équipe scientifique Iris Holzleitner Le Dr Holzleitner est un chercheur postdoctoral sur le projet financé par l'ERC Comment les hommes reconnaissent-ils les parents, en travaillant sur un modèle de ressemblance de la famille faciale axé sur les données pour étudier comment les indices faciaux à la parenté affectent les attitudes prosociales et sexuelles. Ses recherches récentes ont porté sur la façon dont la forme du visage en 3D peut être quantifiée, visualisée et manipulée pour étudier comment les signaux de forme affectent la perception sociale. Elle a terminé son doctorat en 2015 en psychologie à l'Université de St Andrews, sous la supervision du professeur Dave Perrett. Au cours de ses études de premier cycle et de maîtrise en biologie, elle a travaillé au sein du Human Behavior Research Group avec le Dr Karl Grammer à l'Université de Vienne en Autriche. Anthony Lee Dr Lee est un chercheur postdoctoral sur le projet financé par l'ERC Comment les êtres humains reconnaissent-ils ses intérêts de recherche comprennent la façon dont la forme du visage affecte les jugements sociaux (tels que l'attractivité), les pressions évolutives qui pourraient étayer ces biais et les implications sociales de tels Perceptions. En particulier, il s'intéresse au rôle des bénéfices indirects (génétiques) sur l'évolution humaine. Il a terminé son doctorat en 2015 à l'Université du Queensland en Australie. Claire Fisher Claire est assistante de recherche à l'Institut des neurosciences et de la psychologie de l'Université de Glasgow. Elle travaille également sur son doctorat dans le laboratoire de recherche sur le visage. Supervisé par Ben Jones et Lisa DeBruine. Sa recherche étudie les effets des hormones endogènes et exogènes sur les comportements d'accouplement et l'apparence des femmes. Elle est particulièrement intéressée par les corrélations hormonales des changements intra-femme dans la motivation à apparaître attrayante. Avant de s'installer à Glasgow en 2012, Claire a étudié la psychologie à l'Université d'Aberdeen. Michal Kandrik Michal est un étudiant de troisième cycle travaillant avec le Dr DeBruine et le professeur Jones dans le laboratoire de recherche de visage. Sa recherche de doctorat financée par ESRC étudie les différences individuelles systématiques dans les stratégies d'accouplement des hommes et les préférences des partenaires. Auparavant, Michal a complété une maîtrise en méthodes de recherche en sciences psychologiques à l'Université de Glasgow. Michals diplôme de premier cycle est en philosophie et en psychologie de l'Université d'Aberdeen. Chengyang Han Chengyang Han est un étudiant au doctorat dans le laboratoire de recherche du visage. Supervisé par Benedict Jones et Lisa DeBruine. Ses recherches portent sur les préférences des partenaires et les indices de santé perçus. Il étudie actuellement la relation entre l'attrait du visage et l'adiposité faciale et le niveau de cortisol. Il a complété sa maîtrise en études psychologiques à l'Université de Glasgow, avec le mérite. En tant que premier cycle, il a étudié la psychologie appliquée, en Chine. Ross Whitehead Ross est chercheur postdoctoral à l'Unité de recherche sur la santé de l'enfant et de l'adolescent (CAHRU) de l'Université de St Andrews, en Écosse, où il travaille actuellement sur l'étude HBSC, un projet international axé sur La santé et le bien-être des jeunes dans 43 pays en Europe et en Amérique du Nord. Il a complété un doctorat à St Andrews sous la supervision du professeur David Perrett au Perception Lab. La recherche sur la perception du visage du Dr Whiteheads met l'accent sur les liens entre le comportement humain et l'apparence physique et les conséquences perceptuelles de ces relations. Il a révélé que de modestes augmentations de la consommation de fruits et légumes affecte la coloration de la peau d'une manière qui est perçue comme saine et attrayante. Dr Whitehead a mené des études pour montrer que ces résultats peuvent motiver un comportement sain. Dr Whitehead a complété une maîtrise en neurosciences cognitives et un diplôme de premier cycle en psychologie, tous deux à l'Université de Durham, en Angleterre. Shona Fridh Shona Fridh est étudiante de premier cycle à l'Université de Glasgow et a complété sa 2e année d'études. Elle a également étudié un cours de psychologie d'initiation à la Mid Sweden University. Shona a travaillé comme bénévole dans le laboratoire de recherche de visage pendant l'année passée, en aidant à la collecte de données pour le projet de Ben Jones ERC sur les effets comportementaux de la contraception hormonale. Ses principaux intérêts sont la psychologie sociale et la psychologie du développement. Outre la psychologie, elle a également étudié la philosophie, la sociologie, l'entrepreneuriat et la statistique. Chaona Chen Chaona Chen est doctorante en psychologie sous la supervision du Dr Rachael Jack et du Professeur Philippe Schyns. Elle est intéressée à utiliser la vision par ordinateur pour comprendre les signaux sociaux dans la communication humaine. Dans ses projets actuels, elle combine les méthodes psychophysiques avec une plate-forme informatique 4-D pour identifier les expressions faciales de différents états mentaux (par exemple, pensée, confus) dans la culture occidentale et orientale. Avant de venir à l'Université de Glasgow, elle a étudié la psychologie et la philosophie à l'université de Wuhan comme étudiant de premier cycle. Jiayu Zhan Jiayu Zhan est étudiant au doctorat sous la supervision du professeur Schyns. Ses recherches portent sur la façon dont les gens perçoivent les visages et leur mécanisme neuronal correspondant. Elle travaille actuellement sur la base d'information sur l'identité faciale et les émotions faciales. Elle est diplômée de l'Université du Sud-Ouest (Chine) avec un baccalauréat en psychologie (première classe), et a obtenu un MSc de l'Université de Pékin (Chine). Danielle Morrison Danielle Morrison est candidate au doctorat à l'Université de Glasgow, étudiant la perception sociale des corps. Elle a étudié la psychologie, la philosophie et les mathématiques à Northern Michigan University pour son diplôme de baccalauréat. Megan Sutherland Megan est une étudiante du secondaire qui aspire à étudier la psychologie. Elle travaille avec Rachael Jack sous la bourse d'études Nuffield Vacation Studentship et a contribué à différents projets utilisant des technologies variées telles que l'IRM, l'EGG et le MEG. Megan a également un blog international de psychologie populaire en dehors de son travail de laboratoire. L'équipe de soutien Dimensional Imaging Dimensional Imaging est une entreprise mondiale de capture de performance faciale basée à Glasgow et établie en 2003. Ils travaillent au niveau mondial avec des organisations dans les secteurs du divertissement et de la recherche pour développer et fournir des captures d'images faciales 3D et des systèmes de capture de performance faciale 4D , Logiciels et services. Ils fournissent des données faciles à haute fidélité pour les jeux vidéo triple-A, les projets de films et de télévision et les travaux de recherche dans les secteurs de la chirurgie faciale, de la psychologie et de l'orthodontie. Centre des sciences de Glasgow Le Centre des sciences de Glasgow est l'un des sites incontournables de Scotlands qui présente les concepts de la science et de la technologie de manière unique et inspirante. Leurs objectifs sont: créer des expériences interactives qui inspirent, défient et s'engagent à accroître la sensibilisation de la science pour améliorer la qualité de la science et de la technologie d'apprentissage de communiquer le rôle de la science et la technologie de pointe dans la formation Scotlands avenir à construire des partenariats pour développer notre rôle national Dans les domaines de la communication et de l'éducation scientifiques et à promouvoir la science, l'éducation et l'innovation en matière écossaise. Institut de Neuroscience et Psychologie Université de Glasgow